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18 mars 2010

Commentaires

Denis Merlin

Il ne semble pas que cette femme aurait été privée de la sépulture ecclésiastique si elle ne s'était donné la mort que sous le coup d'une "dépression". Il fallait en effet que la personne se soit donné la mort "délibérément". Un certificat médical aurait permis à la famille d'avoir les cérémonies officielles de l'Eglise. La personne était très âgée et ne jouissait probablement plus de toutes ses facultés.

Mais surtout pourquoi toujours opposer, le bien est toujours le même, mais les modalités de son expression changent.

Au premier temps de l'Eglise les pénitences obligatoires dans certains cas pouvaient durer des années avec privation de la communion durant des années selon les cas. Cela à titre de seul exemple.

Pour les suicides, le législateur de 1917 avait décidé de priver les suicidés de la sépulture ecclésiastique afin de diminuer, autant que faire se pouvait, le nombre de suicides.

On m'avait appris que ce n'était pas contre la personne du suicidé, mais dans un but social, pour ceux qui restaient. C'est pourquoi un certificat médical permettait la sépulture du suicidé.

La discipline de l'Eglise change, mais l'Eglise est restée, reste et restera la même, hier aujourd'hui et demain, avant et après Vatican II.

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