8 mars : journée de la femme. Occasion unique pour vous adresser, mesdames, un salut amical et surtout un immense merci. En tout bien tout honneur, évidemment je l’adresse en premier à ma maman, elle m’a donné la vie, elle m’a grondé, encouragé, agaçé parfois, révélé la beauté de la vie chrétienne et de la prière, je serai toujours pour elle un ado auquel il faut donner des conseils : « couvre-toi-bien, sois prudent, ne rentre pas trop tard…. » grâce à elle, finalement, je garde un cœur d’enfant .
Ce merci je le destine à vous toutes qui donnez vie à notre Eglise : catéchistes, accueil, déco et fleurs, service auprés des malades, repas du vendredi au presbytère, accompagnement des catéchumènes, chorale… la liste pourrait être interminable, certes les messieurs comptent l’argent des quêtes, tiennent la comptabilité, participent à maintes activités : que serait le 800° des 20 au 30 juin sans les uns et les autres ? Mais l’âme, la disponibilité, la sensibilité, la créativité, l’attention à chacun, la rouspétance aussi, c’est vous !…
Il n’y a pas pas de doute. Sans Marie-Madeleine, Marthe, Marie, Jeanne, Véronique et tant d’autres où serait le parfum dans l’Evangile, l’hospitalité à la maison de Lazare, le linge du réconfort sur le chemin de croix, le vin de Cana, les miettes de la cananéenne, l’eau du puits de Jacob à la Samaritaine…
Au pied de la croix sont réunis en Marie et Jean les deux facettes de l’humanité, Christ donne sa vie à l’une et à l’un ; au matin de pâques les femmes venues embaumer le corps du Seigneur iront vite chercher Pierre et Jean ; ainsi ce sont la part féminine et masculine de l’humanité qui seront témoins de la résurrection. Au jour de la Pentecôte l’Esprit abonde sur les apôtres accompagnés de Marie. La création nouvelle ne peut être source de vie et d’amour sans cela.
Avec beaucoup d’humour je dirai bien volontiers que vous devez manquer à la réflexion des cardinaux… c’est vrai qu’à certains jours, notre vie serait bien plus tranquille sans vôtre présence à nos côtés, mais qu’est ce qu’elle serait terne !
Bruno, il temps d’arrêter tes bêtises la vaisselle t’attend !
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