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18 avril 2008

Commentaires

claudine

merci à toi bruno pour ce blog, j'étais permanente de mission ouvriére de 1993 à 2001 j'ai du arreter pour ma santé, mais je suis super contente de voir des prétres comme toi qui sont heureux dans leur sacerdoce.

anne marie

de l'humour en ces temps de morosité
Un parachutiste saute de l’avion mais son parachute ne s’ouvre pas.

Aussitôt notre homme, qui a de la religion, invoque tous les saints qu’il peut bien connaître : "Sainte Bénédicte, saint Éric, saint François… protégez-moi !"

Soudain il sent une main qui le saisit au col et l’arrête pendant qu’une voix demande : "Lequel de saint François ?"

Alors notre pauvre homme surpris : "Euh, je… saint François-Xavier !"

À ce moment, la main le lâche et la voix dit : "Ah, désolé ce n’est pas moi".

Germain

Cher Bruno,

A quand ton entrée dans la prêtre academy?

http://www.pretres-academy.com

annemarie

La messe chrismale

samedi 1er mars 2008
L’humour, le rire, les blagues font parties inhérentes de la foi chrétienne. Alors, pourquoi s’en passer. Découvrez la blague du mois…
Cette histoire vraie se passe à la messe chrismale, au moment où l’évêque bénit les saintes huiles.

L’évêque dit à mi-vix au servant de messe : "décoiffez la cruche."

Le servant de messe ne comprend pas, s’approche et enlève la mitre de la tête de l’évêque.

L’évêque, toujours à mi-voix : "Non, pas celle-là, l’autre".

annemarie

un peu d'humour
La messe chrismale

samedi 1er mars 2008
L’humour, le rire, les blagues font parties inhérentes de la foi chrétienne. Alors, pourquoi s’en passer. Découvrez la blague du mois…
Cette histoire vraie se passe à la messe chrismale, au moment où l’évêque bénit les saintes huiles.

L’évêque dit à mi-vix au servant de messe : "décoiffez la cruche."

Le servant de messe ne comprend pas, s’approche et enlève la mitre de la tête de l’évêque.

L’évêque, toujours à mi-voix : "Non, pas celle-là, l’autre".

annemarie

Au lendemain de l'annonce par Nicolas Sarkozy d'un projet de loi visant à instaurer dans les écoles primaires un "droit à l'accueil des enfants" les jours de grève, le ministre de l'éducation, Xavier Darcos, annonce, vendredi 16 mai, dans un entretien à Aujourd'hui en France/Le Parisien, la création pour la rentrée 2009, d'une "agence nationale de remplacement" des enseignants.

"Il ne s'agit pas d'une agence d'intérim", précise le ministre de l'éducation. "Les fonctionnaires ne changeront pas de statut"; explique-t-il. "Ce sera une structure de planification et d'organisation nationale, dédiée à cette seule fonction : planifier les besoins prévisibles – congés maternité par exemple – et gérer au plus vite les absences", souligne Xavier Darcos. "Lorsque nous manquerons ponctuellement de tel ou tel professeur, l'agence pourra solliciter des jeunes professeurs en fin de préparation, des stagiaires ou des élèves en fin de master."

"PROMESSES ÉLECTORALES"


Détaillant le projet de loi instaurant un "droit à l'accueil" dans les écoles primaires en cas de grève, Xavier Darcos estime qu'il n'y a "pas de provocation à faire ce pourquoi nous avons été élus". Il répond ainsi aux syndicats qui estiment, pour leur part, que le chef de l'Etat a franchi "la ligne rouge" avec ce projet de loi. "Il y aurait de la provocation à reculer par rapport aux promesses électorales au motif que les gens défilent dans la rue. Ce n'est pas ça la démocratie", a ajouté le ministre.

Concernant l'accueil des élèves des écoles primaires par un service minimum les jours de grève, Xavier Darcos a affirmé qu'il s'agissait d'"un principe fondamental de la République". Il a reconnu qu'il s'agissait davantage d'un "droit à un accueil", sur le modèle d'un "droit opposable", que d'un "service minimum". Interrogé sur France 2, il a également estimé "tout à fait normal qu'on se déclare gréviste". Il ne s'agira "pas de ficher les gens qui sont grévistes", a assuré le ministre.

annemarie

jolie priere du mois de Marie une maman comme tout le monde

Prière d'une clarisse, jardinière du monastère


La terre sent bon la patience de Dieu !

Il faut quatre saisons pour écrire une année, aucune ne peut se passer de l'autre. Il faut la plénitude de l'été, l'incendie de l'automne, le silence de l'hiver et l'espérance du printemps pour que la terre porte ses fruits.

Le coeur de l'homme est un jardin où Dieu jette sa semence. La vie de l'homme, pétrie de temps, est cette terre qui porte fruit.

Quand je vais au jardin, je ne travaille pas la terre; je laisse la terre me travailler. Car le jardin me permet de me situer par rapport à cette question que François se posait et que tout homme se pose: « Qui es-tu, Seigneur ? Et qui suis-je ? ».

Je peux dire à la terre: nous avons même Créateur et même mission. Et c'est une oeuvre liturgique que j'accomplis; je ne peux pas m'y présenter n'importe coment. Il me faut retourner mon coeur comme on retourne la terre, demander à Dieu qu'Il me fasse un coeur fraternel, sans aucun vouloir de domination.

Je descends au jardin pour communier à l'oeuvre créatrice, et je me glisse avec humilité dans ce silence de la terre. Et il arrive parfois que la respiration de la terre unifie et rassemble tout mon être. Alors, il n'y a plus le ciel, le vent, la terre, moi... il n'y a plus qu'un grand tout qui chante l'harmonie retrouvée.

Certains soirs, quand la cloche sonne, quand la fatigue monte à l'assaut de mon corps comme une vague bien faisante, je guette au détour d'un chemin si Dieu ne se promènerait à la brise du soir !

annemarie

qu'est un pretre c'est un passeur d'humanité on le trouve dans les joies et les peines ,en fait je crois que c'est un frere d'humanité,et cette foi est bien ancreé dans leur coeur, excusez moi c'est la foi du charbonnier,ou du jardinier il seme parfois l'esperance,et faire un livre sur les pretres ce serait bien
il y avait un papi quand il me voyait il chantait
allez dans la paix du christ,cette paix que le monde ne voit pas elle est là merci a vous frere d'humanité

Franck HANNEBICQ

J'ai trouvé ton frère jumeau. Les mêmes coups de gueule, le même franc parler.

http://icthus.over-blog.com/

Catherine

Celà me rassure un peu de voir que je ne suis pas la seule à cogiter à 4 H 59 du matin. Ce reportage et bien d'autres me consternent...
Hier chez mon véto, j'ai vu une photo d'un petit chien à qui on avait mis un améçon dans la truffe pour qu'il serve d'appat vivant pour la pêche aux requins !
Je suis desespérée de toutes ces débilités !
La cruauté humaine est sans limite que ne fait-on pas subir aux pauvres enfants de ce monde ?
Comment faites vous pour ne pas désespérer ?

jérémy claris

bruno je suis trés heureu que tu m'accompagne vers le sacrement de confirmation tu m'appore beaucoup dans ma vie de chretien merci pour tout

Alcide Pruvost

Je viens d'arriver sur votre blog grâce au lien sur celui du Père Hamain.Je promets de revenir souvent et de le faire connaitre. Ce blog est vivant avec beaucoup d'humour, plein d'Espérance et de foi. Quel beau visage de cette Eglise là.


Crocki

Merci pour ce blog,entre ciel et terre, incarnant très bien la Présence de Dieu dans notre humanité!
Il est vivant!
Bonne continuation, et en unité de prière avec vous,
Crocki

Crocki

Merci pour ce blog qui se situe si bien entre ciel et terre, incarnant magnifiquement la Présence de Dieu dans notre humanité!
Il est vivant! Les plus petites choses de la vie en sont les plus grands témoignages.
Bonne continuation,
En unité dans la prière,
Crocki

Bruno à Jean-François

merci pour le petit commentaire sympa....
oh que oui si cela peut, me, nous, consoler il n'y a pas que l'institution Eglise.....

et nous ne pouvons pas vivre en sociète sans institutions, c'est à nous d'agir pour qu'elles soient toujours plus démocratiques, toujours plus au service des plus petits et de la justice... Dieu sait qu'il y a beaucoup à faire, n'est-ce pas ?

allons-y !

bien fraternellement Bruno

Jean-François

le divin est dans l'humain, mais n'est-il pas également dans ces bâtiments comme la collégiale qui élèvent nos esprits ;
cela ne sera probablement pas une consolation, mais il y a d'autres institutions que l'Eglise qui ne sont pas toujours à la hauteur des idéaux placés en elles...

Michelle FOVET

Des prêtres heureux, j'en connais un bon nombre. Des religieuses heureuses aussi. Des laïcs heureux, beaucoup. Quel bonheur de faire l'expérience de la rencontre du Christ à travers les autres. Vraiment ça rend heureux ! Et il y a tous les autres qui cherchent un sens à leur vie et vers qui nous sommes envoyés rayonner l'amour du Dieu de Jésus-Christ. L'amour de Dieu c'est comme une tâche d'huile sur un buvard, il ne cesse de s'étendre et de pénétrer le coeur de l'homme quand celui-ci ose lui ouvrir la porte et l'invite à entrer dans le secret de son être profond.

Bruno à Françoise et Freddy

Grand bonjour à vous Françoise et Freddy, et grand merci d’entrer dans le jeu du forum et du dialogue. Je désire que ce Blog devienne un grand rendez-vous.
Une rencontre entre personnes qui ne pensent pas tous la même chose, mais chercheurs ensemble.
Nous, nous enrichirons de nos réflexions réciproques.
(A titre pratique je vous invite la prochaine fois à utiliser le commentaire à la suite de la note qui est visée. Ici il aurait été préférable d’écrire suite à l’évangile concerné.)

A propos de la reconnaissance. De fait c’est sans doute une des valeurs les moins répandue dans ce monde. Ne serait-ce qu’au sein des entreprises où l’on te jette après avoir bien pressé le citron. C’est ainsi que je vois plein de copains de mon âge sans activité professionnelle, mis en disponibilité ou pour certains mis au placard. Le gouvernement actuel désire paraît-il inverser la tendance, je lui souhaite bien du courage. L’Eglise n’est pas étrangère à cela, loin de là, je pourrai vous citer plein d’exemples. Vôtre propos ne me laisse donc pas indifférent.

Bien-sûr, dans la société civile il y a des médailles : légion d’honneur, palmes académiques ou du mérite. Elles honorent souvent celles et ceux qui les reçoivent mais accentuent d’autant l’injustice vis à vis des humbles et des gens simples qui ne ménagent pas leurs forces et qui resteront toujours dans l’ombre. Ils sont et resteront inintéressants ne correspondant pas aux critères de réussite établis par le microcosme et la pensée dominante.

Je préfère avec vous méditer le Magnificat, « car le Seigneur élève les humbles et renverse les puissants de leur trône. »
Méditer aussi l’évangile de Luc 14, 7-14 ou encore Luc 17, 10

Chers Françoise et Freddy, à tantôt sur le parvis de ma collégiale ou ailleurs.

Françoise et Freddy

à propos de l'Evangile les 9 Juifs auraient pu revenir vers Jésus, ils se sont montrés peu reconnaissants vis à vis de lui.La" reconnaissance" n'est pas toujours la chose la mieux partagée!nous sommes souvent déçus que certaines personnes ne se souviennent plus du dévouement que nous leur avons montré .Et nous? sommes nous toujours reconnaissants vis à vis de Dieu ?Pensons nous souvent à remercier Dieu pour toutes ses attentions et ses grâces?sommes ns comme le Samaritain capables de s'émerveillerdvant le Seigneur sa miséricorde sa tendresse? Il a foi en Jesus, l'aime et est émerveillé par celui qui sauve.Frères et Soeurs en Christ relevons ns ,changeons notre coeur et notre foi nous sauvera

Bruno à Jean

merci Jean, pour ces quelques lignes qui me touchent beaucoup...
Savoir qu'appeler peut rendre une peronne, un couple heureux vient contredire les appréhensions qui nous menacent trop souvent. Merci de tes petits ou grands "coucou" à venir, la bise à Catherine

bruno à hélène

merci Hélène d'avoir pris le temps d'écrire ces quelques lignes.
le but est vraiment de vivre en communion, habités d'une même passion, d'une même envie de rejoindre l'Autre, les autres...
j'espère que tu écriras, un jour un petit article pour mon blog, expliquant ce que tu vis dans ta mission d'animatrice en pastorale... en attente de tes prochains commentaires, j'adresse à toute ta famille mon amitié toute fraternelle
Bruno

jean

Je suis diacre, catholique, j'ai 54 ans. Je n'ai pas la charge d'un curé mais ai la chance de rencontrer journellement des hommes et des femmes qui s'investissent et travaillent dans le monde, en grande partie au nom de leur foi, mais sans forcément en faire état.
La découverte de ce blog me donne l'occasion de remercier son auteur qui est venu nous chercher, Catherine et moi, pour nous proposer cette démarche qui a abouti au diaconat. Merci pour ce que tu me donnes l'occasion de vivre actuellement.
jean

RICHARD Hélène

Merci Bruno de reprendre un fil pour nous relier...
Cela fait chaud au cœur de voir ton sourire sur une photo.C'est un peu de ta présence bienveillante et rien que cela fait du bien quand le coup de blues guette face aux aléas de la vie...
bises
Hélène de 3

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