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12 juin 2008

Commentaires

Maïténa

Oh la la ne dirai-ton pas que chacun voit "midi à sa porte"...?

Pourtant nous sommes tous des frères et malgrès tout chacun regarde l'autre en cherchant quelque chose que l'autre n'a pas....!

Celui qui a "veut garder jalousement ce qu'il a" celui qui n'a rien "regarde tristement ce qu'il n'a pas."

Les inégalités sont et seront toujours d'actualités...!

Oui....et c'est malheureux à dire...!

POURTANT tout le monde sait dire que si les inégalités n'existaient plus ou du moins n'étaient pas si apparentes le monde serait plus heureux ....donc meilleur
Mais.... pour l'instant on est loin d'un monde meilleur.

Citation:
"La sagesse de la vie est toujours plus profonde et plus large que la sagesse des hommes."
Maxime Gorki.


Patrick

Oui, ne divisons d'un coté les "profiteurs", de l'autre les "autres qui ne profitent pas". Regardons nous en face et qui oserait dire n'avoir jamais profiter d'un petit quelquechose qui ne lui était pas vraiment du...Et dire "Ben, si ce n'est pas moi qui en profite c'est un autre qui le prendra".
Par contre si il y a des petits profits et des grands profits, il y a des grandes inégalités et entre quelqu'un qui "patrimoinise" en un mois ce qu'un smicard gagnera en une vie (enfin si il a la chance de travailler toute sa vie) il y a une sacré marge.
Par contre je serai plutôt partisan du moindre effort, ou plutôt que de faire, faire et courir courir on choississait le "laisser-faire" et on laissait parler notre coeur, bien au lieu de profiter de la place assise dans l'autobus on la céderait à la vieille dame...peut être...

Sébastien

Profiteurs : l'état serre la vis. Bruno, avec Odile nous nous levons chaque matin à 6h30. Nous déposons les filles chez la nounou à 7h45 puis nous partons pour une journée de boulot. A 18h environ, nous les retrouvons pour le bain, le repas, le coucher. Nous mangeons à deux. PUis, vers 21h, Odile prépar sa journée de classe. Moi, c'est vrai, je peux être plus souple dans mes horaires. Tout cela nous coûte : en argent (même si nous sommes remboursés d'une partie des frais) mais surtout parce que noius avons parfois l'impression de nous croiser, de ne pas vivre pleinement le quotidien avec nos enfants etc. Nous sommes témoins, au quotidien, d'abus : fraudes à l'aide sociale, fraude aux impôts, personnes qui ne font pas l'effort de cherhcher du boulot car elles n'y gagneraient rien à côté des aides sociales qu'elle touchent aujourd'hui. A qui la faute ? A l'état peut-être, à notre société sans doute qui culpabilise ceux qui osent remettre en cause certains "avantages acquis" par quelques uns pour le bien du plus grand nombre. Oui, il faudrait qu'on puisse lire un jour "Profiteurs, l'état serre la vie." Mais il y a des profiteurs, tant du côté de ceux qu'on appelle avec parfois beaucoup de dédain "les riches" que du côté de ceux qui se rangent du côté des classes sociales plus modestes. Quant à moi, je ne me situe pas plus d'un côté que de l'autre ... et j'estime même être un privilégié...

K-Lys

"Qui peut le plus, peut le moins." -.-. --.-
On retrouve cette expression dans l'œuvre d'Aristote.

"Celui qui accomplit de grandes choses ne rechigne pas devant de menues dépenses."

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