S’il n’y avait eu Bush, y aurait-il Obama aujourd’hui ? Quel paradoxe ! Je crois que nous pouvons répondre positivement. Pourquoi faudrait-il donc toujours passer par le pire pour accéder au mieux ? Pourquoi faudrait-il donc toujours des crises, des révolutions pour que du neuf soit possible ? Mort- Résurrection, nous sommes sans-cesse plongés dans le mystère pascal. Nous pouvons constater cela dans la vie du monde, dans notre vie. Mais pourquoi , donc ?
Serait-ce le prix de notre liberté ? Serait-ce un combat non encore gagné contre le péché ?
Il reste que le monde est toujours à construire, et que la victoire de Barak Obama nourrit l’espoir, tout est toujours possible. Serait-ce que finalement tous les Gandhi, tous les Luther King du monde, tous les prophètes pacifistes ont la clé du mystère ?
Il ya toujours, au creux de l’hiver, un bourgeon pour faire espérer le printemps.
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