Suite à ma petite réflexion de mercredi sur les soldes, parlons un peu de la S.N.C.F, tant aimée depuis quelques temps. Il faut dire que : la gare St Lazare fermée, les retards successifs dus aux pannes de caténaires, à la présence d’une vache sur la voie ou aux revendications du personnel, attisent l’animosité plus que le soutien. Mais tel n’est pas mon propos, connaissez-vous le prix du kilomètre-train ? Impossible, le prix de votre billet peut aller du simple au double. Il peut être préférable de prendre un billet première classe, moins cher qu’un de seconde, remarquez çà nous permet à nous pauvres bougres de nous prendre de temps en temps pour des cadres supérieurs ou des PDG : à la SNCF rien d’impossible. C’est comme à la Française des jeux, tout dépend de l’instant où vous faites la demande, on peut y gagner, y perdre, c’est selon !
Nous sommes entrai n d’organiser notre pélé du mois de mai à Lyon sur les traces du bienheureux Antoine Chevrier, nous partons à cinquante, avec des réductions pour familles nombreuses, cartes vermeil… Bon courage à Thérèse qui prend les contacts avec le service clientèle de la SNCF !
Drôle d’époque que celle que nous vivons : géniale et surprenante, c’est sans doute cela le marketing. Bruno il faut bien vite te recycler !
SNCF : à nous de vous faire préférer le train... Humm...
Enfin plaisanterie mise à part il me semble que les agents SNCF devraient choisir d'autres moyens d'action que la prise en otage -pas forcément voulue mais résultante de la plupart de leurs actions- des usagers. Au final, on en oublie l'origine des actions engagées. Par exemple l'autre jour à propos du blocage de la gare St Lazare. Ainsi sur les 2 min environ que durait le reportage qui lui était consacré sur France3, à peine 30 secondes -et je suis généreux- sur l'origine du problème c'est à dire l'agression d'agents...
Rédigé par : Anthony | 17 janvier 2009 à 16:22