« Je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme », ce poème que Nelson Mandela répétait sans cesse au fond de sa geôle, ce poème qu’il transmet au capitaine de l’équipe des Springboks, ce poème va transcender un homme, une équipe, une nation. C’est le combat de David contre Goliath, un combat battu d’avance. Apparemment…
Un combat qui rapproche les hommes au-delà des races et des antagonismes. « Les ennemis d’hier enfin se parlent », ils vibrent à l’unisson d’un même hymne. .. Les frontières, les races sont abolies, riches et pauvres partagent la même joie, le geôlier et le forçat, le maître et la servante, l’enfant et le policier tous vibrent à l’unisson… belle parabole de l’avenir promis…
Demain quand tu douteras de l’avenir, tu rediras les paroles du poème de Nelson : « Je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme »
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